venerdì 30 gennaio 2009

un paradis terrestre - années 70


La sieste. Le silence absolu.
Je me promène dans les rues désertes de
Ciudad del Carmen.

De toutes les maisons une seule et mĕme chanson.
Une seule radio géante dans ce coin de paradis.
Une splendide petite ville, ou plutôt un grand village.
Une seule immense oreille.
Toutes les femmes écoutent la mĕme radio.
La mĕme silhouette féminine, on dirait...vieille, jeune, petite, laide ou belle, pauvre ou riche.C'est l'heure de la sieste.
Et moi j'aime me balader, seule, dans dans ces rues vides et pleines de merveilleuses couleurs.


J'aime cette solitude à une seule voix. Je pense mieux, je vois mieux, je me remplis d'images , lesquelles maintenant sont encore dans ma mémoire.
Heureusemant, car ces temps-ci, l'argent du pétrole a tout jauni... sali...
Ciudad del carmen, Campeche , c’était le paradis sur terre...
Et moi, je m’y promenais heureuse comme il se doit, étant au paradis.

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