sabato 12 aprile 2008

fin première partie de la petite Piazza-illustration Dominique Landau


Le matin tôt, je descends acheter le journal d’ici.
“ Carlo Sconamiglio et Assunta Ponti trouvés morts sur la Piazza hier à minuit. Pietro Madrazo, et un inconnu,( connu de tous mais sans identification) , blessés se trouvent à l’hopital. L’arme du crime a été trouvé dans un petite ruelle, près de la Piazza, sans empreintes. On ne connaît pas le motif. L’assassin inconnu.. La police fait appel aux citadins pour n’importe quelle information qu’ils peuvent avoir.

Je cours à l’hôpital.
Je réussis à passer – pas difficile ici – et demande a une infirmière , où se trouve Pietro Madrazo. Elle me donne le numéro de la chambre sans rien me demander.J’ouvre la porte et je vois que les deux sont au lit avec des aiguilles partout, mais il y aussi un policier qui me demande qui je suis, je lui réponds la fiancée de l’un d’eux. Il ne demande pas duquel.Quelle chance j’saurais pas quoi lui répondre. Je m’approche du barbu, il ne dit rien . Il regarde, c’est tout. C’est lui qui à l’air au plus mal. Le policier se trouve à mes côtés, suspect, il à raison en fin de comptes, je vais voir l’autre, à m’entendre lui dire “ciao, ça vas?” Il ouvre les yeux me regarde avec un vrai sourire, vois le policier et ouvre la bouche mais!? Oui !!!!!il parle, ne baffouille absolument pas, le "fiancé", il parle très clairment et dit:” c’est Antonino le mari disparu d’ Assunta qui a tiré”. Fou? OH, non, pas du tout,d’ailleurs je m’en doutais.

C’est donc à lui, le soi disant “ fou du village”, qu’on doit d’avoir découvert l’assassin.
Faire le fou pour que personne ne l’approche, pour se sentir encore plus libre.
Adaptation pathologique de sa personnalité à l’ambiance?

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